Petit article pour vous présenter Flightgear.
Flightgear est un simulateur de vol libre. C’est un simulateur, ce n’est pas un simple jeu. Ce simulateur est basé sur des modèles de vol dont la plupart ont pour but de se rapprocher le plus possible de la réalité.
C’est un programme libre, cela signifie que vous pouvez :
lire les sources, pour comprendre son fonctionnement
le modifier, et donc participer a son développement.
Je ne vais pas pouvoir le comparer avec x-plane et flight simulator, n’ayant ni l’un ni l’autre sous le coude. Je ne peux que me baser sur des réflexions trouvées sur le net ou ailleurs.
Flightgear est peu gourmand en ressources, une carte graphique gérant l’open-gl permet d’avoir des performances graphiques plus que correctes : pas de ralentissements, ni saccades.
Flightgear allie les qualités et défauts des programmes libres : on trouve peut être moins d’avions et scènes que sur des programmes propriétaires, mais les utilisateurs peuvent facilement s’y mettre pour l’enrichir.
Les scènes sont assez basiques, mais le monde entier est couvert : la base des aéroports et balises vient de x-plane. Elle semble complète. On peut en ajouter grâce a des programmes fournis avec Flightgear. C’est pas facile a utiliser mais c’est jouable. J’ai ainsi pu ajouter LF8223 qui est l’aérodrome privé de mon centre parachutiste de Bouloc.
Pour les avions, on en trouve quand même pas mal sur le site de Flightgear. Certains sont très complets, d(autre moins ... Des passionnés comme Helijah en créent aussi beaucoup...
Pas mal d’infos via la communauté, via des forums comme celui du site, un autre ici, etc ...
Évidemment, je m’y suis mis, ce sera l’objet d’un prochain article.
Ce simulateur, actuellement en version 2.0.0 est en perpétuelle évolution. La prochaine version, déjà téléchargeable sur les sites de développement apportera des améliorations graphiques (utilisation des shaders), une nouvelle météo, etc ...
A noter que le simulateur permet de voler en groupe tres facilement via des serveurs situés dans le monde entier. Toujours via internet, on a accès a la météo réelle via des données metar.
Bref, ce simulateur est maintenant mature, il ne reste plus qu’a en prendre les commandes...